27.05.2015

Une journée dans la vie d’une de nos responsables de projets

Partie II : Une journée dans la vie d’une de nos responsables de projets, Beata

  1. Qu’est-ce que vous appréciez le plus dans votre tâche de responsable de projet ?

J’adore travailler avec les langues et dans le secteur de l’industrie de la traduction. J’ai un master en langue anglaise et culture américaine ainsi qu’un diplôme d’interprète pour le polonais et l’anglais. Je suis vraiment contente de pouvoir utiliser de manière professionnelle mes connaissances et compétences linguistiques. Et en plus, tu ne t’ennuies jamais dans ce métier. Il est diversifié et capable de me mettre au défi tous les jours. Au courant d’une semaine, je vais peut-être travailler sur un projet de voix-off, discuter d’un projet avec un client japonais, être en contact avec notre département informatique pour résoudre un problème de formatage ou encore coordonner un projet de 10 000 mots du français vers l’anglais devant être bouclé dans les trois jours. La liste est longue…

  1. Quel type de projet as-tu traité récemment ?

Récemment, j’ai dirigé un projet de sous-titrage pour une série de publicités pour déodorants à traduire en anglais à partir du thaïlandais et de l’indonésien. Les étapes de ce projet étaient nombreuses : communiquer avec nos équipes thaïlandaises et indonésiennes afin d’établir une transcription time-codée du fichier audio, coordonner la traduction et la relecture de ce contenu en anglais et, pour finir, me mettre en contact avec notre département informatique qui s’occupe du sous-titrage de la vidéo. Le projet m’a beaucoup plu, aussi en raison de sa complexité.

  1. S’adressant aux personnes qui souhaiteraient faire appel à un fournisseur de services de traduction pour la première fois, que dirais-tu . qu’est-ce qui distingue EVS Translations en termes de gestion de projet ?

EVS Translations a mis en place des processus qui répondent aux normes ISO, ce qui signifie que chaque responsable de projet au sein d’EVS suit les mêmes étapes, garantissant ainsi une gestion parfaite de chaque projet et la fourniture de traductions de haute qualité. Les équipes de gestion de projet sont répartis sur tous les bureaux de la société à travers l’Europe et les Etats-Unis, ce qui constitue un réel avantage pour nos clients qui ont peut-être très rapidement besoin d’une réponse quant à un projet volumineux. Nous exploitons, en d’autres termes, le décalage horaire des différents sites.

  1. As-tu des conseils à prodiguer aux clients lorsqu’ils préparent les documents à traduire ?

Le client devrait être très précis sur ses exigences en termes de traduction. Les matériels de référence, listes terminologiques et guides de style de tous genres sont toujours fort appréciés, car ils constituent des outils fantastiques pour la compréhension d’un texte et permettent de satisfaire encore mieux aux besoins des clients. Pour chaque projet, le client devrait essayer d’envoyer si possible les contenus de fichiers dans un format éditable, par exemple en Word. Si le projet contient du texte non éditable ou du texte contenu dans des images, le client devrait spécifier s’il souhaite le faire traduire ou non. Il est par ailleurs aussi toujours bon de savoir à l’avance si le client souhaite que certaines phrases, slogans ou termes spécifiques soient conservés tels quels, donc qu’ils ne soient pas traduits.

  1. Comment réussis-tu à gérer le stress quotidien des délais à respecter ?

Pour moi, être responsable de projet, c’est réduire à un minimum les dégâts qui pourraient faire échouer un projet. À chaque fois que je planifie un projet, je pense à tous les problèmes potentiels qui pourraient se produire et je réfléchis aux mesures à prendre pour les éviter. Penser à toutes ces choses m’aide vraiment à pouvoir répondre aux exigences du client et à livrer dans les temps.

  1. Quelles langues parles-tu et comment en es-tu venue à les apprendre ?

Le polonais est ma langue maternelle et l’anglais est ma langue-passion ! Je l’ai étudié à l’université mais j’ai déjà commencé à l’apprendre à l’école primaire à l’âge de 12 ans. Je parle l’anglais au travail, j’ai un compagnon britannique et les livres que je lis sont toujours des livres anglais. C’est une passion, elle est tout simplement entrée dans ma vie. Je parle aussi un peu le français, mais je dois dire que je n’ai jamais été prise par cet élan comme je l’ai été pour l’anglais. J’en conclus que ça reste basique.